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Des boissons périmées vendues à Goma : un danger pour la santé des consommateurs

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Malgré les efforts des autorités pour lutter contre la vente de produits avariés, périmés et impropres à la consommation, la vente de boissons déjà périmées reste un problème dans la ville de Goma. Cette pratique illégale met en danger la santé des consommateurs, qui peuvent souffrir d'infections alimentaires, d'intoxications et d'allergies.


Que risquent les consommateurs ?

''Les boissons périmées contiennent des bactéries, des virus et des moisissures qui se multiplient rapidement pendant la période de stockage. Elles peuvent également contenir des toxines et des produits chimiques nocifs qui peuvent endommager le foie, le système nerveux et les reins à long terme.'' alerte Gilbert, un médecin généraliste.

Depuis quelques jours, la rumeur sur la présence des boissons périmées sur le marché circule sur les réseaux sociaux. Depuis lors, des tenanciers des bars tentent d'alerter leur clientèle: "Bonjour chers clients ! Soucieux de votre santé, nous vous conseillons de bien vérifier la date de péremption des sucrés Bralima sur le marché. Il y aurait des produits périmés depuis le mois de Mars." alerte M. Prudent, propriétaire du bar Le Boucher.


Des mesures pour la protection des consommateurs

Les consommateurs doivent être conscients de ces dangers et prendre des mesures pour protéger leur santé. Avant d'acheter des boissons dans des supermarchés ou bars, il est important de vérifier la date de péremption et l'aspect de la boisson. En outre, les autorités doivent intensifier les efforts pour faire respecter la loi et protéger la santé des consommateurs.

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Le journalisme c'est aussi vérifier l'information à la source avant de se lancer dans le sensationnel et de partager tout un article basé sur les rumeurs des réseaux sociaux

Tous les consommateurs avertis nous savons que la Bralima avait une rupture sèche avant décembre de l'année dernière. Comment posséder les produits avariés dans son stock et laisser le marché en rupture totale et au moment où la demande était forte ? C'est la question que doit se poser un journaliste averti Nous avons appris qu'il s'agit d'une erreur de codage sur la ligne de production

J'avais confiance en cette revue mais là je suis un peu déçu, comment vous voulez qu'on vous croie pendant que vous nous alertez sur les sucrés mais vous présentez l'image d'une bière ? Encore que l'OCC fais le test des produits avant leur mise sur le marché, donc l'OCC est mise en cause? C'est un peu dangereux de publier des telles allégations sans preuves contre une grande société comme la BRALIMA de peur d'être traduit en justice.

Nous aimons bien les medias en ligne mais nous nou posons beaucoup des questions sur la véracité des informations publiées. Etez-vous certains des ces allégations? Nous pensons que c'est une grande societé qui nous produit des bières et boissons gazeuses depuis plusieurs denies. Les boissons produite par cette entreprise sont beaucoup apprécier par la population, ce qui favorise une très forte rotation des stocks. Comment se fera-t-il alors pour que cette grande firme vende des produits perimés? Etez-vous sûr de votre information? Mettez-vous en doute tous les services de l'État ainsi que la grande expertise de cette société? Beaucoup des questions qui nous amène à douter de la véracité de votre article. Merci de rentrer sur terrain pour chercher une bonne information et soyez humble pour faire un dementi si vous trouvez le contraire. Un consommateur signe.

Sans faire des investigations, vous vous fiez aux rumeurs de la rue ou nous pouvons dire que vous avez été corrompu par les brasseries concurrentes afin de relayer une information sans vérification, quel professionalisme pronnez vous ? C'est vraiment honteux pour ce media. Nous mettons en doute alors toutes vos informations, sache bien que nous n'avons pas de leçons à vous donner mais étant donné que nous avons été alertés par notre partenaire Bralima du mauvais codage de date d'expiration sur les bouteilles de quelques boissons gazeuses produites le mois de mars passé, je ne pense pas que cela soit sujet d'un article dans le sens à intoxiquer le paisible citoyen qu'il y aurait des produits périmés de cette dernière sur le marché. Encores une fois, nous vous exhortons d'être professionnel dans l'exercice de votre si noble métier cher journaliste ????????.